Du latin « restaurare » qui signifie réparer, rétablir ou restaurer, la justice restaurative renvoie à l’idée de rétablir la justice en réparant les torts causés. A travers un dialogue entre victimes et responsables, elle privilégie la responsabilisation et la réparation plutôt que la seule punition. A quelle période a-t-elle vu le jour et comment ? En quoi se distingue-t-elle exactement de la justice traditionnelle ? Quels avantages et quelles limites en observe-t-on ?
Les étudiants du Master II Justice, Procès et Procédure de Paris Panthéon-Assas nous répondent dans cette édition spéciale réalisée avec le soutien de la Fondation Panthéon-Assas.
Sous la direction de Diana Villegas Santiago, docteur en droit et maître de conférence à l’Université Paris Panthéon-Assas, Amélie Cost poursuit cette série en abordant l’impact de la justice restaurative auprès des acteurs.