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Résumé de l'épisode

Après avoir constaté dans le premier épisode que l’artiste Elaine Sturtevant prenait les formes et les couleurs d’autres artistes en les répliquant pour en faire son oeuvre, nous tenterons de comprendre dans cet épisode ce qu’est la contrefaçon et pourquoi le travail de Sturtevant et des appropriationnistes n’en est pas.

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Invités

Maître Marc Olivier Deblanc

Réalisation

Léa Delion et Leobardo Arango

Coordination

Leobardo Arango

Voix lecture

Léa Delion

Habillage sonore

Appropriation Aya

Remerciements

Marc Olivier Deblanc

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En ce qui concerne l’environnement, nous avons donné comme acquis les prémisses utilisés par les acteurs, experts et par nos interlocuteurs, même si elles pouvaient être contradictoires entre elles. 

En ce qui concerne le dénommé « art écologique », le terme, pour désigner ce type de création, est lui-même remis constamment en question, sans parler de son contenu. 

Finalement, en ce qui concerne le droit de l’environnement, nous verrons que nous avons fait des bonds entre frustration et résignation face à la complexité d’une thématique qui bouscule le droit positif et semble rendre insaisissable le sujet dans sa totalité. 

Merci à tous les experts, amis, oreilles attentives, à toutes les visites guidées, aux musées, aux fondations, aux collectionneurs de nous avoir permis de réaliser cette sous-série passionnante et inspirante. 

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Dans cet épisode Léa Delion et Leobardo Arango reçoivent Michel Forst, Rapporteur spécial des Nations unies sur les défenseurs de l’environnement, Magali Lafourcade, secrétaire générale de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH), et Nathalie Heinich, sociologue au CNRS spécialisée dans l’art, pour évoquer les liens entre art et environnement.

Juridiquement, qu’est-ce qu’un défenseur de l’environnement ? Et quelle incidence l’art peut-il avoir sur les questions de justice sociale et environnementale ?