La sous-série Art, droit et environnement s’achève ici.
Dix mois de travail n’auront pas suffi à déterminer un panorama clair sur l’imbrication de ces trois thématiques. Chaque pan présente une telle complexité que cela rend difficile de les déceler séparément pour ainsi obtenir une once de certitude sur les caractéristiques de leur imbrication.
En ce qui concerne l’environnement, nous avons donné comme acquis les prémisses utilisés par les acteurs, experts et par nos interlocuteurs, même si elles pouvaient être contradictoires entre elles.
En ce qui concerne le dénommé « art écologique », le terme, pour désigner ce type de création, est lui-même remis constamment en question, sans parler de son contenu.
Finalement, en ce qui concerne le droit de l’environnement, nous verrons que nous avons fait des bonds entre frustration et résignation face à la complexité d’une thématique qui bouscule le droit positif et semble rendre insaisissable le sujet dans sa totalité.
Merci à tous les experts, amis, oreilles attentives, à toutes les visites guidées, aux musées, aux fondations, aux collectionneurs de nous avoir permis de réaliser cette sous-série passionnante et inspirante.